(résidus et intervalle de confiance de 95 %)
La littérature spécialisée nous apprend que le diagnostic des escarres de catégorie 1 est délicat à réaliser. C’est pourquoi les escarres des catégories 2 et supérieur acquises à l’hôpital font l’objet d’une analyse distincte.
Dans ce graphique, on peut remarquer que très peu de lignes verticales (intervalles de confiance) coupent la ligne du zéro. On peut en déduire que la majorité des hôpitaux ne se démarquent pas de la moyenne au niveau de leurs résultats, et que trois hôpitaux s’en démarquent de manière significative.
(Voir également les commentaires généraux se rapportant aux graphiques)